Plaza Arthouse Bioscoop

We konden er terecht met onze Cineville pas. Grote zaal en prima film. Eddington

On a retrouvé le goût d'aller au cinéma, la dernière fois que j'ai été au Plaza , c'était pour le film Congo . Nous avons passé un super moment avec le dessin animé Elio . La demoiselle à l'accueil est bien gentille, souriante, accueillante. Nous reviendrons, espérons que le film Marche ou crève sera diffusé au Plaza . Nous avons pu découvrir des extraits d'autres merveilles diffusées, on a noté tout ça. Tout est très propre en tout cas. Merci pour ce bon moment et pour les prochains

Een schat voor film- en filmliefhebbers. Ik was een paar weken in de stad en was niet alleen blij met het rijke filmprogramma, maar ook met het feit dat de films in hun originele versie vertoond werden. Wat dit betreft is het ook aan te raden als je de Engelse taal begrijpt. In het bioscoopprogramma wordt dit dan gemarkeerd als “VOSTFR” (Version Originale Sous-Titrée en Français/Originele taal met Franse ondertiteling).

j adore ce cinéma, intime, de beaux films programmés, pas de bruit horrible de pop corn. Juste à côté de la merveilleuse place de Mons où l on peut trouver une terrasse et discuter du film vu

Une ville où n'est pas montrée l'Histoire du cinéma mérite-t-elle de se prétendre « capitale culturelle » ? Pourquoi laisser l'inestimable collection de bobines de pellicule (70 000 films) rassemblée par Jacques Ledoux être confisquée par un gang de flamingants hostiles, malveillants envers les Wallons ? Pourquoi ne pas partager le patrimoine national détourné par la « Cinematek », dirigée par un forestier incompétent (comme ses employés, dont les programmateurs, sans qualification) ? Un musée ne propose pas que des nouveautés, bien au contraire. On y trouve principalement des œuvres du passé, de toutes les catégories. Est-ce que l'on cache les peintures de Vincent Van Gogh sous prétexte qu'elles ne sont pas récentes ? Pourquoi ne pas programmer des rétrospectives au Plaza ? Si une cinémathèque s'ouvrait dans ma patrie, j'y reviendrais volontiers. Ce serait un bonheur de revoir "Rambo 3", que je n'ai plus eu la chance d'évaluer depuis sa sortie au Plaza, rue de Nimy à Mons. Pourquoi ne pas diffuser le véritable cinéma d'auteur, celui de Marguerite Duras, de Jean-Luc Godard, de Jean Eustache, de Maurice Pialat (pour ne citer que quelques exemples essentiels) ? Les subventions, notamment de la Communauté française Wallonie-Bruxelles (120 000 euros par an), devraient également encourager la diffusion du patrimoine. - Update : réponse à la réponse du Plaza : Quand je parle d'Histoire du cinéma, il s'agit bien de rétrospectives exhaustives d'auteurs, dont le travail est montré dans son format original (pellicule), pas d'un unique et isolé classique à succès comme "Seven", "Memories of Murder" ou "Brazil", diffusés en reproduction numérique, comme il est possible de les trouver en trois clics. Comme je peux admirer La Joconde et les Tournesols sur mon téléphone. Pour votre bonne information, "Brazil" n'est pas un « film culte », appellation galvaudée, puisque cette grosse production fut un succès à sa sortie et que je l'ai regardée en prime time sur la glorieuse RTBF, deux ans après. Un "film culte" est, en réalité, un film obscur redécouvert et réévalué par un cercle de cinéphiles pointus. Quant à l'inévitable Miyazaki, il n'y a rien de plus convenu dans le domaine du manga, pourtant d'une richesse extraordinaire. Lorsque nous bénéficiions d'une véritable cinémathèque à Bruxelles il y a quinze ans, nous pouvions découvrir pendant un mois l'œuvre d'un cinéaste, chronologiquement, avec au début ses productions maladroites comme Hergé ("Soviets", "Congo"), puis ses chefs-d'œuvre et enfin des productions décalées, aux limites de la parodie, comme les derniers Tintin ("Vol 714" et "Les Picaros".) Encore une fois, je vous rappelle que vous êtes le seul cinéma subventionné de la capitale culturelle de la Wallonie (et de sa région) et qu'un cinéma subventionné par le contribuable devrait avoir pour mission d'éducation permanente de montrer l'Histoire du cinéma, d'avoir un rôle de « passeur », plutôt que de projeter passivement ce qui est déjà distribué, comme dans les autres salles subventionnées de Wallonie. Ou à Bxl, où je suis entouré de salles qui projettent ce que le Plaza projette. Je rappelle également que l'inestimable collection de dizaines de milliers de films, récoltés par le regretté Jacques Ledoux, est abandonnée à Bxl.