Installé au cœur de la Province de Hainaut, à quelques kilomètres des villes de Mons et Valenciennes, le Grand-Hornu compte parmi les plus beaux lieux de la Révolution industrielle. Son accès aisé et ses salles originales en font le lieu de réunion idéal.<br />

GRAND AUDITORIUM<br />

Le cœur même de l’entreprise est constitué d’une grande cour ellipsoïdale, formée par la présence de la Maison des ingénieurs, la Salle des Machines et de deux bâtiments en arc de cercle. C’est dans un de ces bâtiments courbes que se trouve le Grand auditorium. Dans les premiers temps de l’entreprise, ce bâtiment a servi de garage pour les tombereaux hippomobiles utilisés pour le transport du charbon. Conséquence des évolutions technologiques et de la disparition progressive de ce moyen de transport, ce côté de la grande cour se verra progressivement transformé en petits ateliers et lieux de stockages.<br />

Un des tout premiers lieux restaurés par Henri Guchez après l’abandon du site suite à sa fermeture, l’aile courbe sera occupée pendant une petite quinzaine d’années par ses bureaux d’architecture. Réaménagée par le designer belge Charles Kaisin et le bureau d’architecture Synergy International, c’est un espace essentiellement consacré aux conférences, colloques et réunions de travail. Le lieu peut être modulé en fonction des besoins.<br />

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ATRIUM<br />

Située à l’étage du pavillon d’entrée du site du Grand-Hornu, l’atrium est une très belle salle carrée pourvue de quatre colonnes de fonte soutenant une charpente de bois. Le pavillon d’entrée reprend l’image du temple classique, traité de manière simple et robuste, conférant ainsi à l’entreprise son caractère industriel. Anciennement lieu de stockage ou espace de bureau, l’atrium est aujourd’hui dédié aux expositions. Calme et clair, l’atrium est aussi un espace idéal pour des réunions de travail.<br />

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LAMPISTERIE<br />

À l’étage de l’accueil du site du Grand-Hornu, la salle de la lampisterie est située dans un ancien espace emblématique du charbonnage. Passage obligé au quotidien de l’ensemble des mineurs, c’est là qu’étaient entreposées et entretenues les lampes qui les accompagnaient dans leurs journées de labeur. Objet indispensable pour l’éclairage dans les galeries, ces lampes étaient aussi un moyen de prévention face à la présence du grisou et un moyen de contrôle du mineur.<br />

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Aujourd’hui, cet espace, long rectangle peuplé de colonnes de fonte, accueille expositions temporaires, séminaires ou colloques. Éclairée de manière latérale par une rangée de fenêtres donnant sur la cour carrée, la salle de la lampisterie se voit magnifiée par un mur de miroirs doublant visuellement son aspect.<br />

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AUDITORIUM GRAND-HORNU<br />

Logé près du pavillon d’angle dans lesquels se trouvaient anciennement les douches et les vestiaires du puits n°7, l’Auditorium Grand-Hornu est un ajout contemporain dessiné par l’architecte Pierre Hebbelinck en 2002. Espace de projection et de conférence de forme lenticulaire, il peut accueillir 90 personnes assises sur des gradins. Confortable visuellement, cet espace bénéficie d’une acoustique remarquable ne nécessitant pas un renfort micro.<br />

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AUDITORIUM MAC’s<br />

Second auditorium dessiné par Pierre Hebbelinck en 2002, cet espace situé en arrière de l’accueil du musée peut accueillir 50 personnes dans une atmosphère calme et confortable. Lieu de projection et de conférence, il est aussi un espace propice pour l’organisation de cours et autres événements nécessitant la prise de notes, chaque place bénéficiant d’un petit pupitre rétractable.<br />

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SALLE DE RÉUNION DE L’AILE NORD<br />

L’aile courbe appelée aujourd’hui «aile Nord» était occupée dès l’origine par la charpenterie du charbonnage. C’est à cet endroit qu’était réparé l’ensemble du boisage utilisé pour l’étançonnage des galeries de mine. Le bois utilisé à cet effet était de préférence du sapin. Celui-ci ayant la particularité de «chanter» avant de se briser, le bruit émis prévenait les ouvriers d’un effondrement imminent. De la charpenterie, il ne reste que la façade coté cour. Suite à l’abandon du lieu, ces bâtiments se sont effondrés par manque d’utilisation. Les constructions actuelles, cachées derrière la façade ancienne datent des années 90 quand une start-up est venue s’implanter sur le site. Aujourd’hui, en plus d’une salle d’exposition, de salles d’animations, d’un centre de documentation et des bureaux des services pédagogiques des deux institutions muséales, une très belle salle de réunion trouve place dans ce bâtiment. Agrémentée d’objets de design de Matali Crasset et de Maarten Van Severen, cet espace bénéficie d’une vue imprenable sur la salle des machines.

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Catering

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